Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
KANLENTO-AVULETE "vaillant combattant, nous devons lutter"
8 janvier 2009

Culture 31 décembre 2008 Note de lecture : Maitre

Culture

31 décembre 2008

Note de lecture : Maitre Jean Dégli au ton conciliant !

Togo : A quand l’alternative parue en 2007 aux Editions L’ Harmattan de Maître Jean Yaovi Dégli est un livre qui a éclaboussé son auteur et un avocat au nom de Boko, avant même sa publication. A ce dernier, l’auteur avait demandé des informations de premières mains et inédites afin de rédiger son ouvrage. Le refus de Me Boko et la réaction de M. Degli a engendré une vive polémique révélatrice sur leur passé de collaborateurs du régime Eyadema, en tant qu’anciens ministres. Par correspondances échangées, ces deux avocats se sont accusés, l’un dévoilant la collaboration de l’autre et vice-versa.

En effet, Me Dégli pense que Me Boko en tant qu’ancien ministre de l’intérieur, a le devoir de répondre aux questions de tout citoyen qui voudrait la lumière sur ses services du temps où il était en fonction. En d’autres termes, sa sollicitation se situait dans le cadre de ses recherches documentaires pour la rédaction de son bouquin.

En revanche, Me Boko, sans ambages, accuse son confrère Dégli d’être encore à la solde des services de Lomé 2. Car, à son a avis, en tant qu’ancien ministre de l’intérieur, ce sont les services de renseignement togolais, Lomé 2 qui serait les inspirateurs du livre de Me Degli. En fait, une accusation gravissime !

Cette polémique n’a pas découragé Dégli. Ainsi, dans le dernier trimestre 2007 peu après les élections législatives togolaises d’octobre, ‘ Togo : A quand l’alternative politique est sorti de presse. Ce livre fort volumineux (550 pages) dont l’une des missions était de guider le choix des électeurs togolais est sorti malheureusement après coup.

Quant au contenu du livre, il y a lieu de dire que l’auteur s’est attardé sur la conférence nationale, ses acquis et les enseignements à tirer de ce forum. Est-il que l’auteur tire de façon globale un bilan négatif de cette grande messe. Par ailleurs, une quarantaine de pages sont consacrées sur la querelle avec Boko. (Page 179 à 217).Pourtant en note de bas de page 215, Me Jean Dégli dit de Boko que l’individu se donne ainsi tellement de l’importance et essaye de se cacher derrière des paravents pour ne pas répondre de ses actes négatifs ou en donner des explications.

Ensuite, une bonne partie la plus importante en nombre de pages concerne Faure Gnassingbé et sa prise de pouvoir monarchique. Pour l’auteur, la gestion du fils d’Eyadema pourrait apporter un peu d’espoir. A la page 448, Me Jean Dégli dit textuellement ce qui suit ‘Que se soit en ce qui concerne les évènements et personnages historiques, l’image du pouvoir, le respect des droits de ‘homme et la promotion des libertés publiques, quelque chose a objectivement bougé durant les premiers mois de règne du nouveau président de la République qui semble vouloir prouver ce qui a été une des paroles favorites dès son installation au pouvoir « moi c’est moi, lui c’est lui », c’est-à-dire la différence entre lui et son feu père.’ Enfin, un grand chapitre est réservé aux enjeux des élections législatives d’octobre 2007.

Soulignons que ce qui frappe dans cet ouvrage à première vue, c’est la présence de nombreuses annexes et les documents de la conférence nationale, les résolutions des organisations de la communauté internationales comme le parlement européen, la déclaration des évêques du Togo et les documents liés à la polémique avec Boko.

Me Dégli, dans ce livre, très conciliant ne voulant ni choquer ni déranger personne. Dans la conception de cette modeste œuvre, il n’y a ni rancune ni haine ou animosité contre qui que se soit (.).Malheureusement ces dires peuvent heurter ou égratigner certaines personnes.que celles-ci trouvent ici l’expression de toutes nos excuses et soient persuadés que l’intention qui est derrière ces propos n’est nullement de leur nuire mais de contribuer à rechercher efficacement des solutions pour les problèmes qui minent la Terre de nos aïeux. Page. 7.

Comment le démocrate convaincu et patriote de surcroit ne peut-il pas être choqué face à la tragédie et au génocide des peuples du Togo ? Comment le démocrate ne peut il pas prendre position pour la justice, la vérité et la défense des droits de l’homme et des libertés démocratiques. L’on a le droit d’interpeller Me Jean Dégli après lecture de son ouvrage sur sa position réelle dans la crise politique togolaise : calcul d’un politique ? Dans tous les cas, ses propos expliquent à coup sûr ses prises de positions éclectiques. Ce manque d’audace est contraire à l’idée que l’on a d’un défenseur des droits humains comme Me Dégli.

Sur la diaspora, Me Jean Dégli qualifie une partie des Togolais comme des réfugiés économiques. Or notre juriste oublie bien que c’est la dictature qui a fabriqué ces milliers d’exilés qu’ils soient réfugiés politiques et ou économiques.

Sur les acteurs politiques togolais entre autres, Me Jean Dégli identifie Edem Kodjo au « grand frère » et à un usurpateur du pouvoir qui a pris la place de Me Agboyibo avec ses six ministres pour devenir premier ministre de la dictature. Edem Kodjo, c’est aussi celui là, qui a rendu, lors de son allocution de premier ministre à l’occasion de la présentation des vœux en 2005, les hommages profonds et mérités de l’homme d’Etat, du faiseur de nation qu’il (Eyadéma) fut et qu’il demeurera. Page 51. Par ailleurs, Jean Dégli qualifie le premier ministre de la transition Joseph Kokou Koffigoh alias Jokoko, de faux démocrate, un homme qui place son idéal de l’exercice du pouvoir comme principale priorité. Jokoko n’aura pas tenu le coup face à Eyadema. Jokoko aura courbé l’échine et accepté le joug de l’homme du 13 janvier, passant à l’ennemi, avec armes et bagages .Page 53.

La conquête du pouvoir n’intéresse guère Joseph Kokou Koffigoh. Car la conquête du pouvoir nécessite plus d’effort.(Pages 53-54). D’un autre côté, Jean Dégli salue la bravoure et l’acte courageux de Gabriel Agbéyomé et de Dahuku Péré pour avoir osé parler de rénover le RPT et de le rendre plus démocratique et plus utile à la Terre de nos aïeux. (Page 232).

Sur la réconciliation au Togo, l’auteur de Togo : A quand l’alternative ? S’exprime en ces termes : c’est ce qu’ont compris les Sud Africains quand ils n’ont pas cherché à poursuivre Frederik De Klerk et ceux qui ont été les dirigeants de l’époque de l’apartheid. Il y a des moments où il faut savoir choisir entre la paix et la vengeance, même légale, ou la paix et la justice. Si l’absolution de Faure Gnassingbé se révélait demain comme le prix à payer pour que le Togo se libère de la dictature, pourquoi pas ? En tout cas telle est notre position pour cette Terre de nos Aïeux qui a assez souffert comme ça et pour le sauvetage de laquelle nous n’avons pas pour le moment la possibilité de renverser l’ordre établi dans une révolution. Si nous sommes capables de faire la révolution nous pouvons penser à la vengeance. » Fin de citation Page 454-455. La situation politique actuelle du Togo semble s’être considérablement éloignée de la révolution prônée au début de la lutte et au moment où personne ne parlait encore de processus démocratique en Afrique. » Page 11

L’Afrique du Sud reste l’Afrique du Sud. On peut s’inspirer de l’expérience de lutte des autres peuples cependant chaque peuple a sa particularité et ses spécificités. Nous ne pouvons pas comparer le Togo à l’Afrique du sud. Le camp RPT n’est pas prêt pour une quelconque réconciliation car il continue de brandir et de faire usage de la force. En aucun cas, révolution ne veut signifier vengeance. La révolution est plus que d’actualité au Togo pour renverser l’ordre établie depuis la nuit funeste du 13 janvier 1963.

Pour conclure son ouvrage Me Jean Dégli affirme entre autres à la page 455 : Ce n’est pas parce que ce combat a des difficultés à aboutir pour le moment qu’on doit s’accommoder et que nous n’avons pas la possibilité de renverser l’ordre établi qu’il faut tout se permettre. Surtout que le peuple togolais profond croit en sa victoire tôt ou tard sur le vilain et avilissant ordre et système de répression multiforme mis en place depuis des décennies au Togo. Ici, Jean Dégli se trompe et nous trompe aussi. Car nous sommes en dictature et les tenants de ce système d’oppression doivent être combattus. Sans concession aucune.

Dans ce cas, si l’objectif du livre est d’éclairer le peuple, il va falloir l’aider à travers des analyses justes et claires, à identifier ses bourreaux et ses ennemis. Le peuple togolais aspire à un vrai changement et vient encore de le démontrer à travers les dernières élections législatives, sanctionnant dans les urnes ceux qui sont des affamés et des ‘’podosants’’ des « ventocrates », nouveaux riches.

Ce qui frappe dans cet ouvrage c’est la présence de nombreuses annexes et les documents de la conférence nationale, les résolutions des organisations de la communauté internationales comme le parlement européen, la déclaration des évêques du Togo et les documents liés à la polémique avec Boko.

A quand l’alternative au Togo est un livre qui mérite d’être lu pour son aspect documentaire en raison des annexes, des pièces et actes qui s’y trouvent. Au Togo, c’est bien de la direction et l’orientation politique du mouvement démocratique togolais qui est en partie responsable de l’échec que nous connaissons.

L’alternance et le changement ne seront une réalité qu’à la seule condition de les vouloir. Tout est question de temps et d’une organisation efficace sous une saine direction éclairée. Ce qui est sûr et plus certain comme le lever du jour, c’est que le règne des sauvages et de l’arbitraire passera. La question que tout bon démocrate doit se poser est de savoir : « comment y arriver » ? Et quand ? en 2010 ?

Note de lecture de Togo :A quand l’alternative de Maître Jean Yaovi Dégli

Editions L’Harmattan 2007

Maurice Mouta Wakilou GLIGLI-AMORIN
Bruxelles, le 31 décembre 2008.

http://gliglimouta.afrikblog.com/

Les documents liés à l'article

Vous avez dit

Le 1er/01/2009 à 00h02   cogito , Nancy
  • Belle analyse de Maurice,alors je n ai meme plus besoins de lire cet ouvrage que je trouve assez "boribond".Les Togolais memeles soit disant les plus éclairés st retombés dans les ténèbres :Nous avons un très très long chemin à parcourir, le bout du tunnel n est pas si proche et la victoire du peuple reste très comprommse. BONNE ANNEE A TOUS !!!!!

Le 1er/01/2009 à 20h11   cogito , nancy
  • Il est vraiment grand temps de changer dixit N’krumah ! Dur dur pour les togolais de changer, je ne sais vraiment pas ce qu’íls ont a foudre avec les patronymes du citoyen x ou y ; finis les débats inutiles qui n’apportent rien au combat du digne peuple togolais ;"jugez les gens pour ce qu ils pensent et non pour ce quíls sont" dixit cogito, c’est juste du réalisme.Moi je trouve les analyses de Maurice assez pertinentes et je lui souhaite ici bon courage, qu’il se prénomme "acide aminé" ou "protéine" ou je ne sais quoi encore, je dis bien que ces débats nous sont inutiles,ne nous voilons pas la face ;arretons ces aneries et travaillons concrètement pour aider nos frères restés au pays ; si nous n’avons pas les moyens de déboulonner le régime de la dynastie des Gnass, l’autre solution c’est d’initier des projets viables pour aider nos fréres.Je peux citer par exemple un projet concernant lássainissement de la ville de Lomé, projet qui me tient à coeur puisque travaillant dans le domaine ici.Ce genre de projet pourrait permettre de redonner un autre look à notre capitale et éviter des pertes de vie du au choléra.On peut bien le faire, car ce ne sont pas les moyens qui manquent mais la bonne volonté. je propose que cette année les gens proposent et débattent aussi de ces micro-projet afin que nous évitons l’extermination de notre peuple par le régime sanguinaire.Je reviens à l’ouvrage de Dégli dans lequel il pense que Faure serait "l’homme du moment",quelle honte pour ce jeune avocat qui se permet meme de comparer le Togo monarchique à l’Afrique du Sud !Non décidément au Togo, on y parviendra jamais, on dirait que le virulent virus "gnassosis" cause des dégats meme chez certains individus naturellement immunisés.Hmm ! c’est effrayant, après les Gnininvi et autres, Dégli est probablement le prochain patient et après Dégli j’ose ne pas croire que ce soit le tour de Maurice ?!!!!Pour l’instant la prévalence est faible alors je peux encore bien dormir à Nancy en ayant le temps de travailler sur mon fameux projet d’assainissement de la ville de Lomé afin d’éviter l’hécatombe provoquée parle Choléra.Je suis certain qu’ils seront nombreux ces compatriotes à se joindre à moi pour le concrétiser.Quant à la politique "politichienne" togolaise, je n’y crois plus ou mieux j’y crois moins, je vais etre simplement réaliste."Quand l’eau monte, le bateau monte avec" : Hagakure, les 7 Sagesses des Samourais. Encore une fois HEUREUSE ANNEE A TOUS,Le Togo est vraiment un beau pays, ensemble il va falloir le construire. Cogito de Nancy

Le 1er/01/2009 à 22h43   kpakpatovia , Londres
  • Bonjour mes frères est ce que quelqu un peut m expliquer ce qui se passe. Je suis novice et j ai l impression d assister en directe à un autodestruction des braves personnes de l opposition. Qu est ce qui se passe dans ce Togo où ceux qui sont sensés nous libérer s autoflagèlent. Expliquez moi s il vous plaît ce qui se passe. C est le début de la guerre des titans, Que se passe t il vraiment qui comprend ça

Le 2/01/2009 à 22h53   Romeo , Los Angeles
  • Cher Cogito, Votre nom ne reflete vraiment pas vos idees. Vous laissez quelqu un lire un ouvrage pour vous et avec cela vous pensez aller sauver le Togo ? Quand on parle d un ouvrage, il faut le lire soi meme avant de se mettre a juger l ecrit et l auteur Peut etre n avez vous pas la capacite de lire et de comprendre un ouvrage. Dans ces conditions, taisez vous et ne venez pas etaler votre ignorance au grand jour en essayant de porter des jugements et en allant jusqu a injurier un ouvrage et son auteur tout simplement parce aue quelqu,un dit l avoir lu et en fait une analyse. Encore faut-il se demander si Mouta a vraiment lu cet ouvrage de 550 pages. Tellement il massacre ce qui est l idee transmise par cet ouvrage que l on se demande si Monsieur Mouta n a pas juste pris certaines pages et essaye de denaturer les idees de l auteur poyr se rendre interessant. Sinon, je ne co ;prends meme pas que quelqu un ecrive un livre et un energumene vienne sur Internet en disant quil le lit pour des gens. Qui qa demande ce travail a Monsieur mouta ? Degli ou l Harmattan. Et vous Cogito, vous vous jetez sur ce que ecrit le pauvre Mouta sans reflechir et meme sans savoir si ce qu il dit est la verite alors qu il voussuffit de lire le livre vous meme pour en juger, Vous dites meme que le livre aurait dit que Faure est l homme de la situation. Pouvez vous me citer la page ou cela se trouve dans ce livre ? Non ce propos n est tenu nulle part dans cet ouvrage. Alors s il vout plait allez apprendre votre lecon et sachez qu on ne dit pas boribon mais moribond. Bonne annee Romeo

Le 2/01/2009 à 22h57   Adjesi , Paris
  • Mon Cher Cogito, Mais comment faites vous pour savoir que Muta Gligli a fait une bonne analyse comme vous l affirmez si vous meme n avez jamais lu l ouvrage en question ? Vous vous basez sur quoi exactement ? Curieux, ces Togolais. On dirait que c est vous qui avez charge muta Gligli de lire le livre pour vous. Pauvres Togolais.

Le 3/01/2009 à 00h10   PIERRETTE , HONVIVILLE
  • ELOI KOUSSAWXO LAISSE LES GENS EN PAIX.FAIS AUSSI UNE NOTE DE LECTTURE.LAISSE LES GENS EN PAIX .TOI MEME ENERGUMENE.QUEST CE KE MOUTA TA FAIT,REVIENT IL A DEGLI DE DEMANDER AUX GENS DE LIRE SON LIRE, DE QUOI TE MELES TU

Le 3/01/2009 à 05h01   AGNES , Tohossouville
  • A ADJESI ET ROMEO CEST QUOI VOTRE PROBLEME ?QUEST CE QUI VOUS DERANGE DANS LE COMBAT DU PAT RIOTE GLIGLI-AMORIN ?AVEZ VOUS LU SA NOTE DE LECTURE ?A T IL BESOIN DE VOTRE AUTORISATION AVANT DE MENER SON COMBAT POLITIQUE ?SIL A LU OU PAS LE LIVRE DE JEAN DEGLI EN QUOI CELA VOUS CONCERNE T IL ? ATTAQUEZ VOUS AUX IDEES DEFENDUES DANS LA NOTE DE LECTURE CEST FAIRE OEUVRE UTILE.LE PROBLEME TOGOLAIS CE NEST PAS GLIGLI-AMORIN.BONNE ANNEE

Le 3/01/2009 à 05h20   Kouessé , tubize
  • éloi nous connaissons désormais ta stratégie de diffamation de MOUTA GLIGLI-AMORIN.Tout ce que tu ourdis contre lui l aggrandit.ne vois tu pas cela ? Alors laisse tomber ton envie de vouloir l abattre à tout prix.Bien souvent tu te caches derriere des pseudos en guingbé selon ton ami Mar A. Apprends à aimer.Laisse tomber la haine de Mouta ; ce pauvre type ne t a pas attaqué ni touché à ton akpakou qui se trouverait dans ton gros ventre. Violeur des filles demandeurs d asile togolaises en belgique ; tu n as pas fini de dénoncer tes propres compatriotes aux services belges de l immigration.Ton nom Koussawo se trouve dans tas de dossiers ;Tu devrais faire profil Bas ;Tronunya vidéé

Le 3/01/2009 à 09h59   Myraelys , Be kamalodo
  • une note de lecture est faite pour informer le public de la parution d un livre quelconque.C est un exercice tres difficile à faire.Cet exercice permet donc aux lecteurs d avoir une idéé sur le contenu du livre.a mon avis, je pense que le compatriote a le mérite de bien nous présenter ses notes de lecture.Ce monsieur que nous lisons depuis quelques temps n est pas celui que vous décrivez comme un energumène.Je pense.Cest un homme déterminé.Je trouve qu il vaudrait mieux l encourager a poursuivre cet idéal démocratique.Combien de togolais font ils cet exercice ?lire et faire partager cela au public africain ? je dis africain car Gligli écrit sur tous les thèmes en sa qualité de panafricaniste de vieille date( cercle kwame nkrumah). Alors Adjessi et Roméo, cessez de nous distraire.Nous voulons du concret.Faisons en sorte que nous nous mobilisons pour faire partir le clan soutenu de mains de mâitre par la françafrique.Roméo et Adjesi que nous proposez vous d autres ? Il y a plusieurs thèmes sur ce site togocity.com : Bruno Tchakadi a écrit sur les coups de force ; d autres sur la candidature de gilchrist ; d autres sur la culture.c est dire que le combat se situe sous plusieurs fronts et angles ;determiez nous le votre.merci.sans rancune.

Le 3/01/2009 à 15h09   Mme M.L Bernard(Française) , Paris
  • DE QUOI PARLE T ON ? DERACINEZ LE MAL TOGOLAIS. TEXTE DE Mme M.L Bernard(Française)avocat à la cour de Paris, admiratrice des notes de lecture de M GLIGLI-AMORIN ADRESSE A MM ROMEO ET ADJESI

    Toute critique est jugée utile dans la mesure où elle donne la possibilité à la personne a qui elle est adressée de se corriger , de s améliorer.Ici dans votre cas,MM Roméo et Adjesi, vous ne critiquez pas l article du sieur GLIGLI-AMORIN.Vous commettez l erreur de vous en prendre à la vie de l auteur(GLIGLI-AMORIN).Vous vous en prenez à lui de façon maladroite et malhonnête.Ce qui n a rien à voir avec le débat démocratique en cours dans votre pays. Tout d abord faites vous l effort minimum de vous procurez le livre de Me Jean Dégli, un livre de plus de 500 pages.Lisez le aussi attentivement et vérifiez seulement si le sieur GLIGLI-AMORIN l a bien lu.S il a déformé la pensée de Me Jean Dégli. Ensuite prenez la peine vous aussi de nous rédiger une note de lectures contardictoires. Enfin de compte,Me Jean Dégli à ce que je sache est bien vivant.C est à lui en dernier lieu et en dernier mot que revient le droit de dire le droit si sa pensée est déformée ou pas.Ne faites vous pas l avocat du diable d un confrere.Attaquez vous aux racines du mal togolais qui à mon avis est le clan des Gnassingbé soutenu par une poignée d intérêts françafricains.Et puis cessez d appelez les responsables des sites togolais lorsque vous êtes mis en cause dans un débat aussi CONTRADICTOIRE.Apprenez à débattre des idées à limer votre cervelle contre celle des autres(Voltaire) ;c est à cette condition que la lutte démocratitque des peuples du Togo prendra de l essor.Sortez vous des sentiers battus. Pour terminer, je vous suggere un extrait du discours du frère de Fidel Castro,Raoul Castro, qui, dans son discours des 50 ans de la révolution cubaine disait : résister a été le mot d ordre et la clé de chacune de nos vcitoires pendant ce demi-siècle de batailles ininterrompues...aujourd hui, la révolution est plus forte que jamais.Une révolution des humbles" journal leMonde d samedi 03 janvier 2009. Je pense que le peuple martysé du Togo a besoin de continuer sa résistance face à la barbarie et à l injustice.Il mérite et a droit au changement.Avec Dieu, l impossible est toujours possible.Evitons le règne de la prtite phrase qui détourne des questions de fond.N attendez pas de miracles si vous êtes incapables de reconnaitre le mérité de vos concitoyens.

Le 3/01/2009 à 18h36   Togobond , washington, DC
  • Le regne des sauvages et l arbitraire ne passeraient pas tant qu il y aurait la dynastie Eyadema et le RPT au pouvoir. Je n y a aucune avancee de la situation des Droits humains au Togo parce qu on continue de tuer nos compatriotes et que l impunite est le credo quotidien au Togo. Nos compatriotes a l etranger ont de bonnes raisons de s exiler, d ou on ne doit pas les considerer de refugies economiques. Je tiens surtout a saluer nos amis de la Diaspora Togolaise, surtout ceux de France, pour leur determination a mettre fin a la dictature hereditaire dans notre beau pays le Togo. J invite Me Jean Degli a repecter les membres de notre Diaspora qui ont droit au bonheur et a la vie.

Le 3/01/2009 à 20h00   cogito , Nancy
  • Bonne année à Adjessi et Roméo malgré leurs propos que je trouve très minables ;qu est-ce qui vous irrite si tant du bon travail que fait Maurice que moi je ne connais personnellement pas ;"il faut juger les gens sur ce qu ils pensent et non ce qu ils sont" avais-je dit ; Maurice ne peut pas perdre son temps à pondre des aneries sur le net ; je vous trouve simplement grostesques et envieux envers cet compatriote exemplaire qui fait un bon boulot.Maurice, bon courage à toi et continue ce beau boulot,honte à tous ceux qui t attaquent sans raison, d ailleurs ils ne sont que l ombre d eux-meme. Bon Week à tous !!!!

Le 3/01/2009 à 20h49   Olivier da Silveira , Bruxelles
  • Chers compatriotes internautes, Je m invite dans les échanges suscités par la note de lecture proposée par Monsieur Gligli-Amorin. Son initiative louable, appelle pour ma part, 3 observations. Tout d abord, sur la forme, il est malheureux de relever que l auteur de la note ne justifie d aucune expertise en tant que critique littéraire. Soit. Cependant, mon affirmation s induit des défaillances de synthaxe et de structuration qui parsèment le texte soumis aux internautes. En effet, il n est pas à propos d amalgamer dans une note de lecture, la restitution de l oeuvre lue et des jugements nécessairement subjectifs. Une telle démarche brouille les pistes aux lecteurs non pas de l ouvrage, mais de la seule note. Ensuite, il est curieux de relever que sur un livre de 550 pages, la note proposée peine à s accorder à la rigueur observée dans le corpus de base. Enfin, sur le fond, est-il besoin d attirer l attention de Monsieur Gligli-Amorin sur la prudence qu il est utile de s entourer dans la dissection d une oeuvre éminemment politique. Sa vision n étant pas forcément celle de l auteur. Compréhensible. A mon humble avis, une note de lecture efficace devrait s opérer sur un mode journalistique aseptisé. L objectif étant d offrir aux internautes une substantielle marge d appréciation lorsqu ils auront décidé d acquérir l ouvrage pour lecture. Pour la suite des échanges, je nous invite à une certaine dose de modération...

Le 3/01/2009 à 23h11   Éric, PhD , Vancouver, Canada
  • Je te demande simplement de nous faire une note de lecture. Je sais que tu maîtrises bien tes cours théoriques. Toutefois, je peux te dire que personne ne possède la vérité dans ce domaine. À un certain moment, nous devons donner libre cours à notre création pensée, à notre esprit créatif. L éducation togolaise est contre la créativité, l imagination....Je crois que tu reflètes symboliquement cette éducation..... Ton compatriote. Eric, PhD

Le 3/01/2009 à 23h37   Papito , Nice
  • quand on voit les "cyber-criquets" et les "cyber-sauterelles" incapables de faire ce travail citoyen et bénévole que font les autres, mais prêts à déverser sur ceux-là des insanités nauséabondes et des cacophonies hors-sujet et improductives, on doit affirmer que les Togolais méritent vraiment de les tyranniser et de les pousser vers l’exil !

    Les togolais dans leur grande majorité sont des êtres maudits, envieux, oisifs, cupides, calomniateurs, traitres, cyniques, poltrons refusant le progrès .....

    Que reprochent-ils alors à Faure Eyadema et à son père, puisqu’ils font aussi la même chose ?

    Quelqu’un fait une Note de lecture. En réalité il aurait dû l’appeler une Critique d’oeuvre. Des désoeuvrés qui n’ont même pas lu l’ouvrage viennent attaquer, non pas les idées exprimées dans le travail, mais la personne de l’auteur du travail !

    Et vous croyez que c’est avec cette mentalité moyennageuse que vous pourrez chassez Faure Gnassingbé un jour ?

    Hmmmmm

Le 4/01/2009 à 02h23   cogito , Nancy
  • "Cogito ergo sum" Cher Papito de nice, Ce n est pas en vomissant toutes ces insultes que vous contribuez au débat de manière positive,donnez juste votre point de vue sur le sujet et point barre.S il fallait qu on nous lisions toutes les références d ouvrages citées par nos différents enseignants pendant toutes notre scolarité à partir du collège seulement alors je vous laisse faire les calculs ;Mouta a bien fait une synthèse d un ouvrage et en a donné son point de vue ;si vous l avez aussi lu personne ne vous empèche de donner votre point de vue ;d ailleurs profitez bien de cette occasion pour partager vos idées et vos points de vue avec nous autres que certains considèrent comme incapables de lire un ouvrage ;Dieu merci qu il y en a parmi les Togolais plus intelligents que d autres(cf. Adjessi et Roméo).Le discours prononcé par le brillant Barack lors de la convention démocrate n est pas l oeuvre de ce dernier et pourtant nous connaissons tous le génie de l orateur.Nous n avons pas besoin tous d étaller ici nos diplomes, d ailleurs le faire est la preuve meme de notre ignorance ;ce qui compte pour moi, c est l homme et ses pensées et non ses diplomes,libérons-nous un peu de ce complexe acquis des Gaulois qui est le mal ayant le plus causé de tort aux pays d Afrique francophone.Apprenons à etre pragmatique,à nous faire valoir non par nos diplomes mais par notre singularité de concevoir et de penser une chose, c est ce qui fait la richesse de l humanité.Moi je suis particulièrement fier de voir les togolais débattre aujourd hui des maux qui rongent leur pays ;ce ne sont pas seulement des érudits qui font la force d une nation,mais c est aussi le chomeur,la femme de ménage, le boucher du coin, le patissier,le maçon, l ingénieur,l acteur,le menuisier ect.. Chacun a le droit de s exprimer meme s il maitrise pas aussi bien la langue de Molière, de Goethé,ou de shekespear.Je déclare l année 2009, l année de l expression libre sur ce site, oui aux débats d idées et non aux insultes et aux attaques personnelles. Fraternelles salutations, Cogito de Nancy.

Le 4/01/2009 à 06h25   SODEDJI YVES , LOME
  • Jean DEGLI aurait mieux fait une meilleure contribution en ne pas publier ce torchon qui n apporte rien a notre lutte. Notre eco-systeme serait en meilleur etat sans cette publication de DEGLI parce que c est une mauvaise utilisation des ressources et des arbres utilises pour imprimer cette merde. Jean DEGLI est un escrroc reconnu par le systeme des nations-Unies ou il ne peut plus travailler. Jean DEGLI est un opportuniste qui a cause plus de tort a notre democratie. Pourquoi Jean DEGLI ne dit rien sur son passage comme chef de guerre avec Sostere de Souza au GHANA. Jean DEGLI est une fraude.

Le 4/01/2009 à 12h42   Kpoda , Anfoin(Togo)
  • Cogito et Papito, je pense que vous deux vous dites la même chose.cogito , essais de bien relire Papito.En tout cas merci à tous pour des contributions constructives.On voit clairement le débat prendre forme avec des jeunes Togolais prêts a en découdre avec la dictature.Félicitation et bonne continuation.On n est pas d accord avec quelqu un, on ne l abat pas à coup d insultes en attentant a sa vie privée.Qui est plus saint que les autres ?

Le 4/01/2009 à 12h45   Olivier da Silveira , Bruxelles
  • Je voudrais simplement préciser, notamment à l attention de Monsieur Eric PhD, que même la créativité qu il évoque à juste titre, a besoin d une certaine méthode dans son élaboration. Eloignons-nous des incantations. Je parlais de méthode. Rien d autre. Et répondre à l invective concernant mon éventuelle absence d esprit créatif ne serait que pur égarement. Sur ce, "je vous rends mon habit de lumière"...

Le 6/01/2009 à 19h35   Ametokodo , Paris
  • Voici ce qu on peut appeler une note de lecture. Comparez ceci avec le document de mon frere Mouta Gligli devenu Amorin. C est la difference qui vous explique de quoi il s agit exactement. Monsieur Epou parle d un livre qu il a lu entierement et qu il commente et cela se sent. Lisez plutot. Ametokodo

    Togo : A quand l alternance politique ?

    Un nouvel ouvrage de Jean DEGLI vient de paraitre. - [ 10/31/2007 ]

    Résumé : Kodjo EPOU

    « Le 5 Février 2005, Eyadèma décède après 38 ans de règne sans partage. L homme qui avait l habitude de dire « j ai pris le pouvoir dans le sang, je le rendrai dans le sang » a connu la fin la plus paisible possible pour un dictateur de sa trempe.

    Le soir même, son fils Faure Gnassingbé prend le pouvoir, suscitant une condamnation de la communauté internationale jamais égalée auparavant dans la politique togolaise.

    Malgré la volonté du peuple togolais, l alternance au pouvoir tant espérée n aura pas lieu après le décès du Président Dictateur Général puisque la fin de cette crise et les élections qui la sanctionneront n aboutiront qu au même résultat : Gnassingbé après Eyadèma.

    Comme le coup d Etat sanglant au Togo en 1963, la succession d Eyadèma vient de donner le coup d envoi de ce qui risque de se passer dans certains des pays africains dans les prochaines années. Pour préparer le terrain, nombre de dictateurs africains ont prêté leur concours au fils Gnassingbé afin que son exemple puisse leur servir de précédent demain.

    Depuis cette crise, le Togo fait son chemin en essayant de mettre en place un processus démocratique dont il est difficile aujourd hui de dire s il va définitivement aboutir à un Etat de droit ou s il va encore connaître des dérapages avec l intervention d une armée omniprésente.

    Que s est-il exactement passé après la mort du Général ? Comment Faure Gnassingbé s est-il emparé du fauteuil présidentiel ? Pourquoi l opposition n a pas réussi à renverser la situation ?

    Ce sont là certaines des questions auxquelles essaye de répondre cet ouvrage avant d envisager enfin les orientations qui demeurent encore ouvertes pour les forces démocratiques en vue d un triomphe de l Etat de droit au Togo. »

    Dans ce livre de 555 pages (dont 50 pages d annexes) rédigé tantot comme un ouvrage d histoire, tantot comme un essai politique et intitulé Togo : à quand l alternance politique ? , Monsieur DEGLI repasse au crible la vie politique togolaise depuis la Conférence Nationale Souveraine.

    Dès les toutes premières lignes, l ancien Rapporteur Général de la Conférence Nationale et ancien ministre de la Transition que l on connaît pour son franc parler pose clairement les règles du jeu. Il entend discuter aussi objectivement que possible des problèmes de son pays sans aucun parti pris. Ni pour l opposition ni pour le pouvoir en place. Seul compte l intérêt supérieur de la Terre de nos Aïeux. Insistant sur sa qualité de défenseur des Droits de l Homme qui désire ardemment que toute action politique ou de développement mette la DIGNITE de l Homme en son centre, l auteur qui se définit comme « celui qui accepte de se jeter à l eau pour éviter la noyade à son peuple » dit qu il se sent toujours à l aise dans le rôle de « celui qui, lorsque le Roi n a pas raison, prend son cercueil sous les bras et va devant lui pour lui dire, Majesté ! Vous avez tort ». L ouvrage est donc un peu dans la ligne du premier livre que Maître DEGLI avait publié en 1996, intitulé Togo : la tragédie africaine et pour lequel les autorités françaises l avaient menacé à l époque en lui faisant savoir par le biais de leurs ministères de l intérieur et de la coopération que « Paris n est pas une base arrière pour les opposants togolais ».

    Quelles sont les grandes orientations prises par la Conférence Nationale ? Ces assises ont-elles toujours eu l occasion de prendre les décisions judicieuses ? Que reste-t-il exactement de ces assises ? En quoi la longue traversée du désert de notre pays qui n est pas arrivé jusqu à présent à entrer dans une vraie démocratie est instructive ?

    L auteur en vient ensuite au décès du Président Dictateur Général comme il appelle le Général Eyadèma. Ce qui s est passé le 5 Février 2005 était-il prévisible ? Si oui, y avait-il ou pas possibilité de l éviter ? Partant de là, il démontre en quoi les affirmations de Faure Gnassingbé et les membres du « Groupe du 5 Février » devant la communauté internationale soutenant qu ils ont pris le pouvoir pour sauver le Togo de la guerre civile sont complètement fallacieuses. Il fait cela en énumérant et en analysant méthodiquement les différentes justifications évoquées par les putschistes.

    Maître DEGLI analyse également l ampleur de la mobilisation internationale et nationale en faveur d une alternance constitutionnelle au Togo. Il dissèque la façon dont Faure Gnassingbé a essayé de convaincre la communauté internationale de lui permettre de se maintenir au pouvoir et met en rapport la stratégie utilisée par celui-ci avec les forces et faiblesses des actions de la Coalition des six partis politiques. Cela lui permettra de décrire et analyser minutieusement le tournant de la crise de février 2005 et la manière dont le peuple togolais a été délaissé par une communauté internationale manipulée. Dans cette rubrique, l auteur détaille la complicité des représentants de la CEDEAO avec les autorités togolaises dans l organisation des fraudes électorales pour faire élire Faure Gnassingbé et explique clairement les raisons pour lesquelles Jacques CHIRAC et le Syndicat des Dictateurs Africains qu il désigne en abrégé « SYDA » ont soutenu la succession d Eyadèma par son fils.

    Maître DEGLI s étale ensuite longuement sur les raisons qui font que notre peuple commence à se laisser endormir par l idée que le nouveau régime pose des actes satisfaisants en étudiant les forces et les faiblesses du régime ainsi que les piliers fondamentaux sur lesquels il est basé en appelant à la vigilance.

    Comme il l a fait dans son « Appel à mon Frère Electeur » diffuse sur la Radio de la Diaspora,Fmliberte à la veille des élections législatives, Maître DEGLI, explique les arcanes de la Constitution togolaise actuelle qui fait la part belle au Chef de l Etat au détriment des autres institutions de la République et en arrive à démontrer comment cette nouvelle dictature « constitutionnalisée » risque de perdurer et de conduire à un pouvoir à vie de Gnassingbé Second si rien n est fait très tôt pour la bouter dehors.

    L auteur en vient après aux différents problèmes qui minent la société togolaise et empêchent la naissance de la démocratie dans notre pays ou essayent de la dévoyer en n oubliant pas d indiquer comment il pense qu on peut surmonter ces entraves. Que ce soit le problème de leadership, de division des forces démocratiques, des dérapages et de l apprentissage de la démocratie, la contribution de la diaspora ; le problème de l armée, le pillage et le gaspillage des ressources du pays, les violations des droits de l homme, du règne de l impunité etc. rien n est laissé au hasard et tout est analysé avec des propositions concrètes de solutions.

    Par ailleurs, pour la première fois, un Togolais ose aborder le problème de la lutte armée en expliquant en détails ce qu elle est et ce qu elle n est pas, pourquoi on pourra la mener dans le cadre du Togo ou pas en n oubliant pas de dénoncer ceux qui se sont installés dans la situation de « vendeurs d illusions » pour essayer d escroquer nos concitoyens en leur faisant miroiter une lutte armée dont ils ignorent tout et dont ils n ont jamais ébauché la plus élémentaire des stratégies.

    Si Maître DEGLI conclut enfin en répondant à la question que pose le titre du livre et en affirmant qu il n y a pas encore d alternance politique au Togo, il ne souhaite pas en rester aux constats car il ébauche des approches de solutions aux divers problèmes qui minent la Terre de nos Aïeux depuis la place qu il faut faire aux anciens chefs d Etat et hommes politiques jusqu à la façon dont il faudra aller vers un véritable Etat de Droit et un développement durable à travers réconciliation sincère et respect pour les générations futures dans notre usage quotidien des biens que nous offre notre pays.

    A travers cet ouvrage, quand on ne connaît pas le Togo, on finit par le connaître ; quand on a oublié son histoire, on finit par s en rappeler et quand on ne sait pas comment aborder l avenir pour pouvoir enfin instaurer un véritable Etat de Droit sur la Terre de nos Aïeux, on arrive enfin à se faire une idée dans ces ténèbres envahissants que sont les affaires politiques togolaises.

    555 pages d analyses documentées à travers lesquelles l auteur vous tient en haleine sur chaque sujet, et même les plus rébarbatifs. Chacun y trouvera sa part. Et comme l auteur lui dit lui-même dès le départ, il accepte la critique objective et espère que de la confrontation des idées que suscitera le pavé qu il a une fois encore jeté dans la marre togolaise, l étincelle jaillira pour une saine résolution des problèmes de la Terre de nos Aïeux.

    A vous de jouer ou à bon entendeur, salut.

    Kodjo EPOU USA

Le 8/01/2009 à 11h19   Amétavi , Dakar
  • M AMetokodo.Essayez d aller lire le livre, puis revenez prendre la parole.Il ne faut pas s appuyer sur les thèses d autrui.donnez vous les moyens de votre critique.M Epou est togolais comme vous.Faites un effort de lire le gros de Me Dégli. Gligli devenu Amorin, c est son droit.Il n a pas chosi de nâitre chez les Amorin, gens d Amour.Laisse vivre le pauvre GLIGLI-AMORIN.Il n a pas votre temps.Suivez mon regard.


Publicité
Publicité
Commentaires
KANLENTO-AVULETE "vaillant combattant, nous devons lutter"
Publicité
Publicité