DEVOIR DE MEMOIRE

Où en est le mouvement democratique togolais en Belgique 16 ANS APRES ?

Lettre ouverte à Eloi Koussawo eloi koussawo le plus grand fossoyeur du mouvement démocratique togolais en Belgique.

1 PREMIERE PARTIE GLIGLI: UN CAS PATHOLOGIQUE Maurice EVAGLO [Répondre] 10/5/2008 2:13:27 PM

MOUTA GLIGLI: UN CAS PATHOLOGIQUE

Il n'est pas indiqué que pour s'adresser à un individu de s'en prendre à ses parent, mais le cas de Maurice Mouta Wakilou Gligli mérite de déroger à cette règle, car nombreux sont ceux qui attribuent son comportement qui frise la démence au mauvais caractère de son défunt père du nom de Aladji Issa Gligli. J'étais très proche de Mouta depuis le Togo, mais je ne cautionne plus ses agissements qui divisent la communauté et sa haine injustifiée contre certains militants de la diaspora. J'ai la preuve que c'est Mouta qui de cyber en cyber dans Bruxelles (comme il n'a rien à faire) écrit ces conneries de bas étage contre les combattants, puisque je retrouve mot à mot dans ces écrits ce qu'il nous a dit récemment à propos de certains militants. Tel père, tel fils, dit-on. En effet, Aladji Issa Gligli (le papa de Mouta) était un féticheur-charlatant bien connu au Togo; connu également pour son zèle en faveur d'Eyadéma qui l'avait imposé à la tête de l'organisation des Imams du Togo, ceci contre l'avis de la majorité. Il était surnommé « Baba Lèguèdè » pour les renseignements qu'il donnait à Eyadéma sur sa communauté. Renseignements qui auraient occasionné la mort de plusieurs citoyens. Un jour, la mère de Mouta née Amorin était allé en consultation chez le féticheur Issa Gligli (le père de Mouta). Le père de Mouta l'a violée: ce fut la grossesse de Mouta! Le grand-père de Mouta du nom de Carlos Amorin était furieux et avait décidé de renier sa fille (mère de Mouta), malgré les conseils de famille. C'était une grande douleur pour la famille au milieu des années 60. Le féticheur Issa en a profité pour une deuxième grossesse. Il faut reconnaître que la mère de Mouta (d'une famille de bonne éducation, Amorin) était piégée par le féticheur Issa Gligli. Les gens ont parlé d'un envoutement, de grigri d'Issa sur cette bonne fille. Mouta n'a malheureusement pas reçu la bonne éducation des Amorin, plutôt la mauvaise de son père Issa. A l'opposé, son jeune frère Armand qui a vécu chez les Amorin est correct sans problème. Il vit également en Belgique mais ne parle plus à son frère Mouta depuis plus de 10 ans, ceci à cause du mauvais caractère de Mouta. L'oncle de Mouta, Tavio Amorin a décelé ce mauvais caractère génétique de Mouta peu après son retour au Togo et l'a mis à l'écart depuis la conférence nationale. Mouta était accusé de renseigner le RPT sur les stratégies du PSP, le parti de Tavio. Mouta et Tavio ne se parlaient plus jusqu'à la mort de Tavio, c'est pourquoi Mouta a été sérieusement accusé d'être celui qui a vendu Tavio, c'est-à-dire a renseigné sur ses déplacements. Mouta a fait l'objet de plusieurs réunions de famille. Mouta peut-il nous dire pourquoi jusqu'à aujourd'hui ses tantes, c'est-à-dire les soeurs de Tavio et la maman de Tavio ne lui adressent plus la parole? Peut-il nous le dire? Faisons un petit retour pour signaler qu'au collège à Tsévié, Mouta (à l'image de son père) a fait des pieds et des mains pour devenir le responsable de la structure de la jeunesse du RPT (JRPT sous section scolaire). Son zèle de dénonciation était bien connu et avait valu l'exclusion à plusieurs élèves qui critiquaient l'animation politique imposée (la danse). Mouta passait même à la télé pour le compte de la JRPT sous section scolaire (3S). Tous ces faits sont vérifiables, de même que les autres qui suivront. Mouta est très mauvais, cynique et méchant. Puisqu'il est gravement accusé par la famille, il se défend en révélant à qui veulent le croire, ses soi-disant « secret de famille ». Ce sont des pures inventions de Mouta pour salir la famille Amorin. Arrivée en Belgique en 1992 (on sait bien comment), Mouta n'a cessé de dénigrer la famille Amorin et ses camarades. Il disait par exemple que sa tante Da Lèffè Amorin était la maîtresse (2è bureau) d'Eyadéma; que Tavio n'a rien de grand combattant et qu'il n'aimait que les femmes. Mouta a même accusé Tavio,à tort, d'avoir couché avec sa femme Michou. Toujours pour salir la mémoire de Tavio, il disait que Tavio était un imposteur, qu'il n'a jamais eu de problème politique au Togo avant son départ pour l'Europe; il ajoute que Tavio est parti en Europe avec l'aide de Kokou Fourn, l'ancien maire de la ville de Lomé qui, disait-il, était l'amant de la soeur de Tavio. Dans sa haine contre Tavio, il disait que Tavio était un trafiquant d'or qui avait pris une forte somme d'argent à son oncle Eugenio pour faire le trafic illicite d'or. Il dit également que son oncle Alexandre Amorin est allé prendre l'argent chez Blaise Compaoré pour le compte de la lutte et a acheté un appartement à Paris avec cet argent. Etc. Etc. Oh, Mouta tu es vraiment fou. En Belgique Mouta n'a jamais travaillé. Il émarge depuis 1992 au CPAS (Centre Public d'Aide Sociale) tout d'abord à Liège et à Bruxelles. On a parlé entre temps d'un travail de gardiennage nocturne de quelques mois pour lui permettre au moins de bénéficier d'allocation du chômage. Mais après vérification, c'est du pipo! Il est toujours assisté par l'aide sociale. Mouta n'est pas normal. Il fut un moment, il criait dans les tramways, bus et métros. Il criait qu'il voyait le fantôme de Tavio. Suite à cela, il a été interné au moins 2 fois dans un centre de fous en Belgique. On lui faisait la piqure de fous dans ce centre psychiatrique. Face à la gravité de son problème, sa mère a décidé, il y a 3 à 4 ans, de le faire revenir au Togo pour des cérémonies et soins appropriés. C'est ainsi que Mouta a été au Togo en passant par le Ghana. Il faut reconnaître que dès son retour nous avons constaté une amélioration. Aujourd'hui, nous craignons qu'il ne soit de nouveau possédé. Son comportement diffamatoire a fait que des sites internet lui avaient adressé une note d'avertissement. C'est à cause de son mauvais comportement qu'il a été publiquement et proprement giflé par Ulysse A. et il n'a pas bronché; au contraire il a fui comme une famelle. Mouta fait la honte de la communauté en Belgique. Récemment il a été expulsé de sa chambre, une pièce pour non payement de loyer. Ceux qu'il dénigre sont dans leurs propres maisons. Mouta est vraiment un cas: il a lancé des rumeurs contre sa femme qu'elle a le sida, lorsque celle=ci a décidé de le quitter pour fainéantise entre autres. Il est allé supplier un couple « ami»a lui pour que celui-ci accepte que son couple (à Mouta) qui chancelait devienne parrain de leur fille.Le couple a dû accepter pour tenter de sauver Mouta, malgré notre opposition. Ce couple était averti du mauvais comportement de Mouta mais ne nous a pas suivi: aujourd'hui ils vont se mordre les doigts. Si ce couple nous avait écoutés comme d'autres, il serait tranquille avec le cas Mouta. Nous taisons le nom de ce couple (dont l'homme est bien connu) par respect pour eux. Mais comme Mouta cherche à descendre dans l'égout pour salir les gens, nous, nous ne dirons que la vérité rien que la vérité sur lui. Mouta a touché le bas fond, puisqu'il n'hésite pas à insulter le handicap physique de l'enfant d'une personne (J.) avec qui il était en brouille: c'est le comble ! Il faut que Mouta aille se faire soigner de nouveau. Il est menteur et manipulateur. Prochainement son passage au Lycée technique Eyadéma d'Adidogomé. A suivre... Maurice EVAGLO. source icilome.com

Eloi Koussawo,

Jusqu'à quand tu auras le courage de tes idées et de signer avec courage tes actes ?

Ce sont bien souvent les assassins qui ne signent pas leurs actes.

Chaque fois, tu me poignardes dans le dos et en toute sincérité lorsque tu viens vers moi, je fais la paix avec toi.

Pas plus que la dernière fois lors de la messe de Tavio, tu es venu vers moi pour me faire l'accolade de Juda. Dans le compte rendu de cette cérémonie, nous t'avons mis.

Que veux-tu en plus ?

Au Colloque Tavio, je t'ai fais donner la parole, en bon démocrate.

Que veux-tu de plus ? Cette fois –ci c'en est de trop.

Je répondrai partout où besoin sera de mes actes car mon nom de plume est Kanlèan d'où le nom de mon journal KANLENTO-AVULETE que je tiens avec mes maigres moyens depuis 16 ans.

Pourras-tu me montrer ce que tu as fait ici en Belgique depuis 16ans en dehors de tes photos?

A part mettre en difficulté tes compatriotes au niveau des services de l'immigration.

Combien de fois ton nom ne figure pas dans les décisions de refus de demandes d'asile des togolais de Belgique ?

Mais, de moi personne ne peux oser lever son petit pour m'indexer.

C'est cela la dignité et l'intégrité nous légués par Tavio Amorin dont je suis l'assassin d'après ta langue de vipère.

Si tu veux le nier, je peux donner des preuves et des noms.

Eloi Koussawo tu es cynique, tu es un despote.

En quoi es tu différent de Etienne Eyadema ? Tu n'aimes jamais débattre des idées.

Comme Etienne Eyadema, tu veux à tout prix être leader.

Comme Eyadema, tu n'aimes que faire des communiqués. Comme Eyadema, tu n'aimes que fréquenter des grands Hommes et poser avec eux.

Autres temps ; autres mœurs et des hommes nouveaux porteurs de grandes valeurs morales.

On ne peut plus compter avec les Eyadema en miniature comme toi.

Non et mille fois non. Nous n'en voulons pas. Pas du tout.

Tu veux à tout prix soigner ton image. C'est une bonne chose. Si tu avais une arme en main, tu m'aurais liquidé depuis fort longtemps car je me pose à chaque instant cette question : « En quoi, mon combat te dérange t il ? Suis –je celui qui t'a mis sur les routes d'exil ? Suis-je le Bitokotipou Gnaninim, celui qui t'aurait payé le billet d'avion pour Bruxelles ? Au fait dis-moi avec sincérité pourquoi tu m'en veux à mort ? »

Tu l'as avoué à Marc A que tes seuls ombres, c'est Mouta et Alofa.

Tu as souvent utilisé ce Marc pour enlever nos réactions sur ton site d'icilomé.

Il paraitrait que tu lui dois des sous à l'heure où nous écrivons cet article.

Pour ta soif de pouvoir et tes ambitions mesquines, tu as sacrifié Marc Que t'ai-je fait ?

Je suis prêt à te demander pardon et que nous fassions la paix et la réconciliation si tu le désires sincèrement. Je dis tout haut ce que je pense et je fais ma vie selon mes moyens.

Mais le fou que je suis et comme tu as pris l'habitude de le faire dire à tes poulains (voir tultogo) ne se fera plus prendre à ton piège ; plus de 2 fois avec moi, c'est que je suis réellement le con.

Un fou, c'est celui qui reste au bord de la rue et qui observe tout. Un fou est celui qui fait autre chose que les autres.

C'est celui qui va à contre courant. Dans ce cas, pour lui, il doit avoir aussi un centre hospitalier à part. Par ailleurs, tu as parlé de mon petit frère Armand dont tu as parlé dans ton texte comme quoi, lui et moi ne nous entendons plus depuis 10 ans. Il t'a appelé et t'a démontré le contraire.

Eloi sans te mentir, Okpée Boussou.

Tu as rencontré le malheur sur ton chemin En voulant m'affronter.

Nous irons aussi loin que possible ...... Tu ne me connais pas.

Tout ce que, tu sais, c'est que je suis fou.

Eh bien j'assume ma folie car comme le dit si bien le capitaine Thomas Sankara, pour effectuer des grands changements fondamentaux, il faut une certaine dose de folies.

Je poursuis avec Tavio Amorin : « Alors si c'est pour cela qu'on me traite j'accepte ma folie et je l'assume ». Cette lettre, je vais la publier partout.

C'est toi le plus grand fossoyeur du mouvement démocratique togolais en Belgique.

 Sur le site icilomécom, tu as souvent fait enlever mes textes de réaction.

Car un certain Awokou Eric basé au Canada t'a laissé les clefs et les codes d'accès.

Eh bien, la bonne nouvelle, c'est que dès Janvier 2009, tu verras mon site en ligneWWW.KANLENTO.COM et icikara.com.

Je te donnerai la clef et les codes afin que dès que j'écrirais tu puisses l'effacer.

! Sors de ton ventre l'Akpakou avant de t'attaquer à ma vie !

Tu m'as confié beaucoup de choses en privée, jamais je ne les ai faits sorti.

Car, étant bien éduqué, venant d'une grande famille de la bourgeoisie, je sais qu'il y a des limites à ne jamais dépasser.

On parle de débats d'idées et tu t'en prends à ma vie privée.

En quoi, cette vie privée des autres fait avancer la juste cause des Togolais ?

En quoi tes photos prises dans le cadre de l'International Socialiste comme envoyé et garçon de course de Gnininvi fait il avancer la cause togolaise ?

Moi aussi, dans ma modeste existence, j'ai côtoyé des grandes personnalités mais jamais je n'exhibe ces photos. Il ya un temps pour tout.

Tu es trop trop pressé. La semoule que tu adores manger n'est pas encore prête au Togo.

Par ailleurs, je sais que tu n'aimes pas du tout le poulet.

Avec les Gnassingbé, nous avons du pain sur la planche. Au lieu de t'atteler à faire quelque chose, toi, c'est toujours tes photos.

En tout cas chacun est libre de faire comme il l'entend !

La grande équation à régler dans la crise togolaise, c'est de déraciner le clan des Gnassingbés.

Ce n'est pas Mouta GLIGLI comme tu sembles le voir partout derrière les assassinats des martyrs togolais.

Je ne suis qu'un pauvre type mais riche de cœur.

Je suis un makaya comme on le dit chez les gabonais, c'est-à-dire un pauvre type.

Ma modeste contribution au débat en cours et ma lutte pour une nouvelle société togolaise, avec mes peu de moyens, ce sont mes notes de lectures à partir de la l'analyse de la situation politique du Togo et ou d'autres pays d'Afrique.

J'ai l'impression que vous ne mesurez pas l'enjeu avec le règne des Gnassingbé. Sinon comment expliques-tu que des anciens de laFEANF comme Adouayom s'assèye près de Faure Gnassingbé ?

Et le plus petit ministre d'Etat, ton mentor Gnininvi dont tu es le garçon de course ? C'est à cause du Podo ((ventre), toi aussi tu aspires à allonger ton ventre bientôt.

Avec ton article GLIGLI MOUTA UN CAS PATHOLOGIQUE et signé Maurice Evaglo, la vase est pleine et ne peut que déborder.

Qui cherche trouve et qui trouve assume.

La politique, c'est l'art de servir pour que les autres t'élèvent.

Entre nous qui as-tu servi dans ce pays ici en Belgique ?

Si ce ne sont que tes propres ambitions ?

Cites moi au deux exemples d'une quelconque aide apportée à un compatriote.

Alofa Justin t'a chassé comme un mal propre à la veillée de prières de sa mère.

Et qui t'a ramené chez toi ? N'est ce pas le jeune Marc, ton ami de tous les instants ?

Tu as dit à Justin Abalo celui que tu avais placé à la tête de diastode belgique que c'est par l'argent du RPT, que je suis habillé.

Tu as l'habitude dire aux gens que je suis le garçon de course de Gabriel Agbéyomé que je suis en mission pour Agbéyomé.

Normalemnt quand Agbéyomé a pris le chemin d'exil, je devrais le rejoindre en premier dans son parti l'Alliance et actuellement dans OBUTS Si je roulais réellement pour lui, c'est à moi qu'il devrait confier le dossier du patrimoine d'Eyadema qui coûté la vie en prison à Claude Améganvi !

Qui t'avais remis le dossier sur le patrimoine d'Eyadema, n'est ce pas cet Agbéyomé ?

Tu oublies peut être mes liens familiaux d'avec Agbéyomé.

Je sais écrire quoi que je ne dispose d'aucun diplôme dans ma vie.

Pierre Bérégovoy n'est il pas demeuré le meilleur ministre de l'économie et des finances que la France n'ait jamais connu ?

Quand le Professeur d'économie a pris ce département, on a constaté que l'inflation Je suis né d'une mère Amorin, la grande sœur de Tavio Amorin, alors comment tu peux-tu affirmer devant la face du monde sur icilomé.Com que je suis l'assassin de Tavio ?

Disposes-tu des preuves ?

Alors pourquoi a chaque commémoration, tu m'invites à venir vous parler de Tavio ?

C'est tout de même bizarre que ayant toutes les preuves de la personne qui a assassiné Tavio, tu ne puisses pas l'assigner devant la justice belge ou tous deux vous vivez !

Tu dis autre chose et tu fais autre choses. Vous, vous le faites dans votre famille Koussawo ?

Faire tuer son oncle ?

Voilà pourquoi, nombreux sont les Africains du Togo et d'autres pays qui ont répondu à notre appel, à mon appel à l'occasion du Colloque Tavio Amorin tenu à Bruxelles le week end dernier.

Eh bien, tu as vu de tes propres yeux nos capacités et potentialités...

Plus de 150 personnes ont répondu massivement à notre appel, à mon appel.l.

Eloi, tu n'as pas eu honte de venir prendre la parole dans une manifestation organisée par le fou des rues de Bruxelles ?

Ma DEVISE EST LA SUIVANTE LORSQU ON SE S'ENTEND PAS ON PAS ON SE NE FREQUENTE PAS.

Voilà pourquoi, je ne me suis pas rendu à votre manifestation contre Eyadema lors de sa visite à BRUXELLES.

Je ne suis au service de personne. Je ne suis ni l'agent de renseignement de personne.

Un agent de renseignement vit du fruit de ses œuvres.

Il ne peut pas un fou dans la rue.

Après le PSP qui est resté en léthargie et dont j'ai été premier responsable de la jeunesse du parti, ce qui m'a permis d'être aux côtés de mon grand maître Tavio Amorin lors de la Conférence nationale du Togo, je ne roule pour personne.

Tu ne vois pas le ton d'indépendance que j'utilise dans mes articles ?

Si je suis en service commandé, au service d'un Gnininvi, je ne peux qu'à agir comme toi.

Tout faire sur instruction. Alors, arrêtes de faire l'amalgame. Pas de confusion des rôles.

Je ne rends compte qu'à mes collaborateurs et à mon seul créateur. Dieu, celui qui donne l'être, la vie et le soufflle.Je n'ai peur de rien. D'ou mon nom de plume Kanlean ou Kanlento.

Je n'ai pas non plus faim pour créer de toutes pièces une histoire rocambolesque tout en faisant yeux doux à Faure Gnassingbé au détriment de Kpatcha* par l'intermédiaire d'un griot Guy Mario, l'homme qui a épousé ta sœur utérine et chez qui tes enfants se rendent régulièrement à Lomé.

Sache que le même journal Forum Hebdo qui t'a fait la publicité de ton histoire de tentative d'assassinat t'a encore démonté pièces par pièces Le Seigneur Logo Dossouvi, celui qui t'a fait asseoir sur le siège inamovible du MO5, t'a désavoué dans des interviews sur focus info et dans le Regard. Eloi, après tout cela que vas-tu devenir ?

Rester dans nos rangs pour être agent de Gnininvi qui est ministre d'Etat dans le gouvernement de la dictature ? Ou choisir de rentrer dans les rangs.

Le plus important, c'est d'assumer ses choix.

Je respecte de beaucoup Logo Dossouvi que je salue au passage car il dit ce qu'il pense et se conforme à ses propos. Voilà, un Homme. Un Homme, c'est l'harmonie des contraire.

(1) Eloi, tu as voulu jouer de moi. Eh bien, tu t'es trompé d'ennemis.

Voilà partiellement où là où tu as conduits pendant 16 ans ici en Belgique tes différents mouvements. Garçon de course.

Tu es venue en mission pour tout dévaster.

Tu as essayé et le temps, ce grand maître selon Victor Hugo a joué contre toi. Mais ce qui est triste c'est que ton mentor, ne t'a pas rendu la monnaie, pour service rendu. Triste, sire !

CONCLUSION PARTIELLE

Tour à tour ils sont rentrés dans les rangs comme de petits rats.

Eloi a fait sa rentrée dans la cour des assassins du Peuple Togolais.

Le MO5 est mort !

Que du bluff de la part de ces jeunes affamés et assoiffés soit disant opposants qui ont mis en périls la vie des milliers de jeunes togolais.

Finis les communiqués pompeux de cette clique en service commandés.

Vous voilà pris la main dans le sac.

Honte à vous et malheurs a ceux qui bâillonnent le peuple.

Le MO5, c'est le plus grand mouvement de la jeunesse du Togo. Il est né du mouvement insurrectionnel du 05 dans le seul objectif d'accompagner le peuple togolais dans sa quête de liberté, de la démocratie et des droits fondamentaux de la personne et des peuples du Togo.

Ce vœux a ce jour a t il été atteint ?

C'est entre tes mains que s'éteint la flamme et le sang des milliers de martyrs connus et ou anonymes car c'est toi Eloi Koussawo qui depuis bientôt dix années conduit le Mo5.

A SUIVRE DEUXIEME PARTIE

1-Je reviendrai en détails sur mes origines, si je n'ai jamais travaillé dans ma vie

2-Nos liens et notre divorce : Comment, je suis arrivé à être le parrain de ta fille ?

3-Mes responsabilités dans la crise togolaise en tant que militant des 3 s sous section scolaire du RPT

4-Comment j'ai été au TOGO en passant par le Ghana

5- En quoi mon nom est synonyme de Marc Ahougani ?

6-Tes pratiques et tes histoires de femmes et tes rapports avec les femmes compagnons de lutte

7 Tes services au Ministère de l'Immigration dans le traitement des dossiers togolais

8 Eloi le diviseur du mouvement démocratique en Belgique

Maurice Mouta Wakilou GLIGLI-AMORIN

Fait à Bruxelles, ce 24 novembre2008

Le jour de ton anniversaire

Tu seras un homme mon fils

Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie

Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,

Ou, perdre d'un seul coup le gain de cent parties

Sans un geste et sans un soupir;

Si tu peux être amant sans être fou d'amour,

Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre

Et, te sentant haï sans haïr à ton tour,

Pourtant lutter et te défendre;

Si tu peux supporter d'entendre tes paroles

Travesties par des gueux pour exciter des sots,

Et d'entendre mentir sur toi leur bouche folle,

Sans mentir toi-même d'un seul mot;

Si tu peux rester digne en étant populaire,

Si tu peux rester peuple en conseillant les rois

Et si tu peux aimer tous tes amis en frère

Sans qu'aucun d'eux soit tout pour toi;

Si tu sais méditer, observer et connaître

Sans jamais devenir sceptique ou destructeur;

Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,

Penser sans n'être qu'un penseur;

Si tu peux être dur sans jamais être en rage,

Si tu peux être brave et jamais imprudent,

Si tu sais être bon, si tu sais être sage

Sans être moral ni pédant;

Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite

Et recevoir ces deux menteurs d'un même front,

Si tu peux conserver ton courage et ta tête

Quand tous les autres les perdront,

Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire

Seront à tout jamais tes esclaves soumis

Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,

Tu seras un Homme, mon fils.

(texte de Rudyard Kipling, auteur du Livre de la Jungle )

ANNEXE 1 SOURCE DIASTODE.ORG ET TOGOFORUMCOM

LEADER À TOUT PRIX

C'est dans la nature humaine d'avoir des ambitions, et d'ailleurs cela est naturel.

Mais la question que je me pose est de savoir si ce besoin doit occulter le but de notre engagement.

La lutte pour une cause comme la notre ne saurait être exempte d'agissements que certains dénoncent aujourd'hui. Essayons d'être objectif et surtout réaliste.

D'abord, je pense que nous avons droit à plus de respect et à plus d'égard de la part de Koussawo. Il nous annonce une importante réunion de la diaspora avec des noms de symbole de notre lutte, des noms qui ne peuvent laisser indifférents, dont Josué K. Efoui.

Il nous sert ensuite un rectificatif, puis il y a un démenti de certaines personnes qui disent n'avoir jamais participé à la réunion. Mais le ton utilisé dans le démenti est révélateur du malaise et de la polémique qu'engendre la tenue d'une réunion de la diaspora en Belgique autour de la personne de Koussawo.

Ne voulons-nous pas tirer des leçons des erreurs du passé?

Qui n'a pas souffert de ces comportements qui ont visé avant tout à s'attribuer la paternité de la lutte de toute la jeunesse togolaise?

Avons-nous oublié qu'alors que nous nous offrons en spectacle, d'autres jeunes ont carrément laissé leur vie pour la cause? Dans le manifeste contre l'impunité publié le 14 avril 2001 sur ce même site, il ressort clairement des faits établis, que nous avons affaire à un dictateur-dinosaure.

Nous avons aussi une idée via la liste non exhaustive, du sacrifice consenti par le peuple en lutte, et c'est un devoir qui nous incombe à faire en sorte qu'ils ne soient morts pour rien. (...)

Nous gardons donc toujours en mémoire l'affaire Fievez, au travers duquel ce fonctionnaire du CGRA (Commissariat Général aux Réfugiés et Apatrides) à Bruxelles, avait débouté nombres de compatriotes du droit légitime d'asile politique, parmi lesquels plusieurs militants ayant appartenu aux Ekpemog.

Le plus révoltant pour nous, c'est que ce fonctionnaire belge a motive ses décisions de refus par référence aux dires d'un certain Eloi Koussawo, notre «leader».

La génération Ekpemog en Belgique s'est alors constitué et a mené des actions jusqu'à obtenir que ce fonctionnaire soit muté du dossier des Togolais.

La génération Ekpemog ne saurait cautionner de nouveaux errements de compatriotes dont le seul but est d'arranger leur situation administrative et sociale.

Quel était notre crime ? (...)

Pour nous, le combat se situait avant tout sur le terrain de notre idéal démocratique. Nous ne luttions pas devant des vitrines et des cameras mais avec nos gueules, nos biceps et nos tripes.

Nous sommes conscients de l'urgence de la situation dans notre pays mais aussi de l'importance pour les associations démocratiques à regrouper leurs forces.

Nous pensons que les erreurs du passé doivent nous servir à construire l'avenir avec de nouvelles visions et perspectives.

La patrie ou la mort, nous vaincrons.

le 7 mai 2001

Pour la Génération Ékpémog,

Kader Tchaouro, Président ekpemog@hotmail.com

ANNEXE 2 SOURCE FOCUSINFOS http://www.focusinfos.com/index.php?option=com_content&task=view&id=312

La difficile adaptation du M05

Écrit par focusinfos.com 14-10-2008

Le M05, le mouvement dit du 05 octobre serait-il au bord de l'implosion ?

Tout semble indiquer que le mouvement traverse une grave crise qui pourrait l'y conduire.

Les sorties médiatiques des membres ou des ténors du mouvement ces derniers temps, tant dans la presse privée au Togo que sur les sites Internet togolais, montrent que le mouvement ne vibre plus à l'unisson.

Un communiqué daté du 05 octobre fait à Tubize, diffusé sur Internet et repris par les journaux de la place, le dit de manière sibylline malgré les contorsions diplomatiques prises par son coordinateur général Eloi Koussawo.

Tout y est explicite : « Chers compatriotes, Chers militants, notre détermination connaît des difficultés certes, elle connaît des vicissitudes, mais elle s'inscrit plus que jamais dans un processus irréversible. ». Avant d'ajouter : « Face aux graves problèmes que connaît le Togo, nous n'avons pas le droit de nous verser dans des disputes futiles et dépassées qui n'auront pour résultats que de nous diviser et fragiliser plus, alors que les forces démocratiques ont tout intérêt à s'unir, à dissoudre les égoïsmes et à écouter la voix gémissante de notre peuple. » Les protagonistes de ces disputes byzantines sont les « les Togolais de l'intérieur » et « les Togolais de la diaspora ». Mais la diaspora est désignée comme fautrice de trouble puisqu'elle est appelée à être « plus responsable.»

Si elle ne sait pas quelle attitude adopter, la conduite à suivre lui est suggérée : «une diaspora responsable n'est pas celle-là qui semble oublier les problèmes graves du Togo, et qui se dissipe dans la culture des rumeurs assassines. Elle n'est pas non plus celle-là qui prône la haine et l'exclusion. »

Mieux encore : « une diaspora responsable est celle qui observe et apprend le savoir-faire des pays hôtes au profit de sa patrie ». Et comme pour mieux seriner les devoirs aux oublieux, le communiqué rappelle qu'une diaspora responsable « est celle mieux organisée, mieux structurée qui prend conscience de son devoir à l'égard de son peuple, car celui-ci attend légitimement quelque chose de positif de sa diaspora. »

Tentative d'assassinat ?

Le communiqué est écrit quelques semaines après le retour du Coordinateur général Eloi Koussawo en Belgique, alors que lui-même avait annoncé à la veille de son départ, avoir échappé de justesse à une tentative d'assassinat lorsqu'il se rendait à un hôtel voisin de son domicile pour rencontrer un ami.

Lequel ami serait impliqué dans la tentative. Après la mort dans des circonstances troubles du politologue Atsutsé Agbobli, nul doute que la tentative d'assassinat ratée dans des circonstances encore plus sombres de Eloi Koussawo suscite de nombreuses interrogations et à de quoi inquiéter plus d'un. Exilé en Belgique peu après l'échec de la longue grève générale illimitée de 1992-1993, Eloi Koussawo remettait pour la première fois les pieds au Togo après une condamnation par contumace pour diffusion de fausses nouvelles en 2002. Dans quelles conditions est-il rentré au Togo ?

Et pourquoi lui qui a failli « finir à la plage », signe-t-il un communiqué aussi dur à l'égard de la diaspora à laquelle il appartient et non contre le régime en place?

Allez savoir ! Mais, là se trouve la réponse aux bisbilles dans le M05.

Car en filigrane de ce communiqué, apparaissent réellement les difficultés que connaît l'Association qui a montré en quelques heures et dans la rue la faiblesse de la dictature d'Eyadèma, l'un des régimes les plus policiers d'Afrique.

La nouvelle donne politique après la mort d'Eyadèma et son remplacement à la tête de l'Etat par son fils à la suite de la chaotique présidentielle d'avril 2005 est au cœur de la division dans les rangs de l'Association.

Au M05, certains ténors ont cru à la politique d'ouverture de Faure Gnassingbé et sont revenus au pays pour participer, dit-on, à la reconstruction du pays. Il y a parmi ceux-ci nombre de gros bras du mouvement proche de la CDPA. On compte l'emblématique Hilaire Logo Dossouvi, l'un des « tractographes » à l'origine du 05 octobre, revenu de son exil canadien.

Cette cheville ouvrière de la CDPA est actuellement en poste comme «attaché de mission» au ministère de l'industrie auprès de son mentor, M. Léopold Gnininvi. Il y a également le Grand Prix de Littérature africaine, Kangni Alem, qui est actuellement le sherpa de Faure Gnassingbé à l'OIF (Organisation internationale de la Francophonie ).

Il y en a d'autres, plus ou moins célèbres. On accuse ces derniers d'aller à la mangeoire.

Ce qui fait dire à Mouta Wakilou Gligli que les deux sont des traîtres, des vendus, des collabos et pour tout dire, s'agissant notamment de Kangni Alem, qu'il a déçu les attentes du peuple. C'est donc la participation de la CDPA au gouvernement qui est mis en cause, et peut-être toute la stratégie actuelle de l'opposition depuis le fameux Accord politique global auquel, soit-dit en passant, toute la e politique et la société civile a cru. Existence Le problème du M05 est en réalité aussi le problème de toute l'opposition togolaise.

La mort inattendue de Gnassingbé Eyadema a désarçonné l'opposition non préparée à l'après Eyadema. Aussi l'échec surprise de l'opposition aux législatives de 2007 et l'ampleur de la victoire de l'UFC sur ses concurrents de l'opposition ont-ils totalement bouleversé le paysage politique.

Pour beaucoup, la longue lutte contre Eyadema pendant 40 ans fut vaine et la fuite des meilleurs pendant la restauration militaire d'Eyadèma entre 1991- 1993, a desservi le Togo et laissé le pays exsangue, livré aux mains de gens incompétents. Conséquence : un pays en ruine.

Chacun joue désormais sa propre partition, aujourd'hui à l'origine de la cacophonie au sein de l'association. Le communiqué du 05 octobre dernier peut-être interprété comme la nouvelle ligne politique du M05. Que ceux qui veulent aider Faure Gnassingbé le fassent sans avoir à subir les sarcasmes de ceux partisans de la ligne dure ! Point barre. Et on peut être certain que la thèse de la tentative d'assassinat ratée d'Eloi Koussawo peut être comprise comme une pirouette politique destinée à rassurer la diaspora.

L'argumentaire de ceux qui se prêtent au discours d'ouverture de Faure Gnassingbé est qu'il ne faudrait pas attendre une arrivée hypothétique de l'UFC au pouvoir pour venir aider à relever son pays.

Mais à y regarder de très près, le malaise qui prévaut au sein du M05 est emblématique de la situation de l'opposition togolaise. Où est passé l'opposition dira-t-on ? Le Mouvement du 05 octobre existe-t-il vraiment ?

La fuite des militants et les dures réalités de l'exil ont eu un impact déstabilisateur sur la vie d'une association vue plutôt comme une nébuleuse, sans âme consistante, qui ne vit que par des communiqués interposés dans les journaux privés et les sites Internet.

ANNEXE 3 SOURCE DIASTODEORG

LU POUR VOUS

Le 5 Octobre, une date dans l'histoire du Togo.

Comme nous le voyons déjà, la vérité finit toujours par triompher. (...).

Les apprentis politiciens qui ont fait et qui font encore aujourd'hui la course a l'argent, aux honneurs et qui se foutent éperdument de la souffrance des togolais, usurpant la tête des mouvements politiques, créant des structures vides doivent être dénoncés.

Il y a quelques années, on nous annonçait la création d'un MO5 nouveau avec a sa tête le très controverse Eloi koussawo sur décision du Pr Gnininvi. (.)

Aujourd'hui plusieurs vrais acteurs de cette époque glorieuse regardent avec stupéfaction ce qu'on en fait de ce MO5 inspiré par Tavio.

Ce qui est sur, c'est que le MO5 devenu un club d'amis, ne représente qu'une ombre et surtout dénudé de toute crédibilité.

La jeunesse combattante réclame la création d'un front du 5 Octobre qui sera plus représentatif, indépendant de tout parti politique et susceptible de redonner a la jeunesse togolaise sa fierté d'antan au lieu des nigauderies auxquelles nous assistons.

Il y a lieu aujourd'hui de s'armer de courage pour dire tout haut les aspirations de notre population et ; réunir les moyens pour la fin de la dictature au Togo.

A la lumière de toutes les analyses, réflexions des uns et des autres, partis, associations etc. UN CONSTAT. Ce qui est convenu d'appeler " Leaders " ou Opposition en générale a lamentablement échoué et il serait presque criminel de ne pas réagir.

Que nouvelle suite donner au combat ?

Koffi Toukada koffi_toukada@yahoo.fr

TOGO

Le MO5, c'est la jeunesse togolaise dans son ensemble sans appartenance politique.

C'est bien la jeunesse qui est en quête d'un profond changement (.....)

Aujourd'hui, quel est le bilan moral et financier du MO5, 18 ans après sa naissance?

Nous voulons savoir ce que Blaise Compaoré avait donné comme CONTRIBUTION à Ouaga.

Ce que Laurent Gbagbo alors opposant a offert comme contribution. Alfa Omar Konaré du Mali. Marc and Mei, quel est son apport dans la lutte?

-Devons-nous continuer sans établir préalablement ce bilan?

-Que sont devenus les Bassirou ? Tété Cosme? Houmey Spéro, Doglo Tino, Bruno Tchakadi, Lionel Akpabi, Yabouri,etc.. Sont-ils exclus du MO5 ou suspendus?

Qu'est devenu le MO5? (......)

Le MO5, c'est toute la jeunesse togolaise. Pour élire ses dirigeants (...) pour le ressusciter (....) il y a lieu de contacter "tout le monde" .(......).

18 ans le 05 octobre 1990 aucun bilan n'est établi. (......).

Commençons à apprendre le débat démocratique dans nos rangs.

Apprenons aussi à élire nos dirigeants.

Apprenons aussi à les destituer lorsqu'ils ne rendent pas compte de leur gestion.(....).

Dans la vie tout s'apprend. Pour moi, l'enfance aussi fait partie intégrante de l'être. Acceptons la critique. Le clan des Gnassingbé partira à coup sûr quoi qu'il fasse.

Contre vents et marrées. Mais nous ne le remplacerons valablement que compte tenu de nos pratiques. Parce que nous l'aurions appris la démocratie à la base.

LYON, JUILLET 2001 K.A. VALERIEN

05 OCTOBRE 2008 - MO5, 18 ANS DEJA !

Nous commémorons cette année le 18 ème anniversaire du 05 octobre 1990.

Et le premier responsable du MO5 n'a rien trouvé comme message et adresse à l'endroit de la jeunesse de notre pays que de nous inviter à « la cohabitation » avec la dictature ; aux réformes de la dictature...

Est-ce pour ce clin d'œil au tenants de la dictature en vu d'un éventuel poste ministériel qu'il ya eu tous ces milliers de morts ?

La jeunesse est désemparée face aux nombreux échecs de l'opposition.

Que faire? Le processus togolais connait un blocage. Que faire? Voilà l'urgence !

Le MO5 18 ans après, quel bilan établir?

Ne faut-il pas dissoudre cette association qui a servi en son temps?

Voila quelques unes des mes préoccupations. T. ADAM ALLEMAGNE

ANNEXE 5 MESSAGE DU MO5 À L'OCCASION DE L'ANNIVERSAIRE DU 05 OCTOBRE 1990

(.....) Chers compatriotes,

Chers militants, nous devons donc ensemble faire face aux graves problèmes du Togo avec convictions et réalisme. Seule la lutte libère.

Nous devons exiger au plus vite des réformes constitutionnelles et institutionnelles.

Notre pays doit cesser d'être un terrain d'insécurité et d'impunité. Chers compatriotes, ayons foi dans l'avenir du Togo. Que Dieu bénisse le Togo!

Fait à Tubize, le 05 octobre 2008

Eloi Koussawo, Coordinateur Général du MO5

ANNEXE 6

Eloi Koussawo n'a jamais été refoulé à la frontière Togo-Bénin | 29 octobre 2008

La Dépêche 8 fevrier 2006 [ No 305: 8 fev. 2006]

Eloi Koussawo n'a jamais été refoulé à la frontière Togo-Bénin

Le président du M05 Eloi Koussawo est-il sérieux ?

Telle est la question que l'on peut se poser lorsqu'on se rend compte que cet homme est faux jusqu'aux cheveux.

Lorsque les sites Internet et certains journaux écrivaient dans leurs colonnes que le sieur Koussawo président de MO5 et résident en Belgique a été refoulé à la frontière Togo-Bénin, nombreux sont ceux qui étaient étonnés et se sont demandés pourquoi un tel individu qui ne représente rien sur l'échiquier national puisse subir ce sort alors qu'il venait participer à une marche organisée par son mouvement pour dénoncer la politique française au Togo.

Votre journal La DEPECHE s'est investi pour en savoir plus.

Comme il fallait s'y attendre, le sieur Koussawo Eloi ne s'est jamais présenté à la frontière pour remplir un quelconque papier afin de rentrer au Togo.

Les services d'immigration du Bénin qui ne le connaissent même pas n'ont enregistré dans ces livres un certain Eloi Koussawo. Côté togolais même stupéfaction.

Les services d'immigration ne l'ont jamais aperçu ni de loin, ni de près pour aller jusqu'à imaginer un quelconque renvoie. Un officier déclare qu'il ne s'est jamais présenté à la frontière.

Pourquoi crie t-il au loup?

En réalité, Eloi savait pertinemment que la marche pour laquelle il devait prendre part n'avait pas mobilisé de foule.

Prendre part à une manifestation de quelques dizaines de personnes devait le discréditer et le démystifier. Il avait pensé au départ qu'il allait effectuer un retour triomphal pour s'imposer comme un leader politique charismatique.

Comme il savait que cela devait être un fiasco, il a renoncé à faire le déplacement de Lomé et s'est contenter de rester à Cotonou pour désinformer l'opinion par presse interposée.

Le comédien Koussawo savait également que s'il ne fabriquait pas ce gros mensonge, il aura à justifier de l'utilisation du financement qu'il a reçu auprès de la diaspora togolaise. Malin qu'il soit, il a préféré crier à la persécution alors qu'il n'en était rien.

L'on se demande si Eloi Koussawo est plus dangereux que Gilchrist Olympio qui non seulement a obtenu son passeport national, mais il rentre souvent au pays pour animer de grands meetings sans être inquiété. D'autres leaders de l'opposition ont déjà organisé des marches contre l'impunité notamment Harry Olympio et Claude Améganvi qui n'a pu mobiliser que 9 personnes, n'ont jamais été inquiétés.

Eloi Koussawo représente t-il quel danger pour l'empêcher de rentrer ?

Il n'a fait qu'emballer les gens dans une histoire bidon pour se faire de la publicité. E.D

ANNEXE 7

Chronique de la Semaine #30/ 2008

A quelle comédie joue Eloi Koussawo ?

Le coordinateur du Mouvement du 05 octobre (MO5), le sieur Eloi Koussawo ne cessera jamais de surprendre les Togolais.

Fertile en montage imaginaire, l'homme vient encore une fois de se faire entendre lors de son passage à Lomé.

Il a atterri à Cotonou avant de prendre la route pour Lomé.

Il a traversé la frontière d'Hilla-Kondji sans être inquiété par qui que ce soit et est arrivé chez lui à la maison située dans le quartier Nyékonapkoe.

Eloi Koussawo a passé un séjour agréable à Lomé en rencontrant ses amis, ses copines et surtout en organisant des funérailles grandioses en mémoire de sa mère. Après avoir achevé ces funérailles qui étaient la raison fondamentale de sa venue à Lomé, l'homme sort son scénario qu'il avait minutieusement préparé. Ce scénario consistait donc à simuler une agression contre sa personne, histoire de démontrer au monde entier qu'il est l'opposant le plus redouté du pays.

Après cette simulation, l'homme a passé tranquillement la nuit et toute la matinée du lendemain avant de prendre la route sur Cotonou pour, dit-il, se mettre à l'abri de l'agresseur.

Qui est au fait l'agresseur ? C'est un certain Marc Ahoungani que lui-même appelle camarade et militant de la diaspora togolaise, et qui réside également en Belgique.

En clair, Eloi et Marc sont des amis, se connaissent bien et se fréquentent également. Comment peut-on comprendre que son ami le poursuive à Lomé pour l'enlever ?

C'est certainement cette invraisemblance qui expliquerait la relaxe de Marc lorsqu'il a été interpelé et écouté par la gendarmerie. En réalité son ami Marc était tombé dans un traquenard monté de toute pièce par Eloi lui-même. Qui a alerté la presse ?

Aussitôt après le déroulement de la scène, l'homme a commencé à ameuter la presse. Il a appelé lui-même des journalistes qui sont ses amis et surtout avec qui il publie habituellement ses déclarations tapageuses pour leur narrer l'histoire. Heureusement que beaucoup d'entre eux le connaissent suffisamment et n'ont pas fait écho de ses hallucinations.

Malheureusement un confrère très fébrile a relayé ses inepties sans le moindre recoupement.

Le hic, c'est que le même Eloi Koussawo déclare dans le même journal après bien sûr être rentré à Bruxelles : "Ce n'est donc pas moi qui ai pris l'initiative d'informer la presse". Les confrères qu'il a ameutés cette nuit s'interrogent si Eloi est atteint de la mythomanie.

Que vient chercher le nom de Kpatcha Gnassingbé ?

Le comédien de mauvais goût, Eloi Koussawo, déçu du fait que son scénario n'a pas fait du boucan comme il le désirait, trouve mieux d'insérer le nom de l'honorable Kpatcha Gnassingbé dans son récit.

"Je n'ai aucune raison objective pour ne pas le croire pour l'instant, sauf que des bruits persistants font de lui (Marc) un membre du réseau Kpatcha Gnassingbé, qui serait derrière le coup raté", a déclaré le sieur Koussawo.

Si aujourd'hui le leader de l'UFC Gilchrist Olympio se balade à Lomé, même la nuit sans être inquiété par qui que ce soit, l'on se demande que représente au fait Eloi Koussawo sur l'échiquier politique pour être la cible d'attaque ?

L'homme est passé dans les oubliettes. Beaucoup de Togolais l'ont ignoré.

C'est seulement en Belgique qu'il est connu dans certains milieux gauchistes où il passe son temps à présenter le Togo comme un pays où ne vivent que des extraterrestres.

Ce qui bien sûr lui permet d'engranger des sous dans ces milieux très fermés qui n'ont aucune connaissance de l'Afrique. Pour ces donateurs, Eloi représente pour eux le "Terminator" qui combat la dictature au Togo. En vérité en montant ce coup avec l'implication du nom du demi-frère de président de la République , Eloi voudrait insinuer qu'il est toujours persona non grata au Togo, alors qu'il n'en est rien du tout. En tout cas, l'homme n'est pas à son premier coup d'essai.

En 2006 déjà, il avait débarqué à Cotonou où il avait invité certains de ses amis journalistes pour inventer un autre scénario.

Cette fois-ci c'était pour faire croire qu'il avait été chassé à la frontière Togo-Bénin par la police alors qu'en réalité il n'en était rien du tout, car il ne s'était même pas rendu sur les lieux.

Mais cela n'avait pas empêché certains journaux de relayer l'information déjà publiée sur les sites.

Que dire ? Eloi Koussawo est un homme vil qui ne vit que de ses montages parfois mal ficelés.

En tout cas, son cinéma n'a ému personne si ce n'est que le dégoût et la haine viscérale que cela a suscités auprès des Togolais contre lui. Ce qui est sûr, c'est que les Belges n'avaleront pas non plus cette comédie sans saveur.

ALIZIOU Dominique